Le drame de ma mère
Chers lecteurs et lectrices,
Je vous annonce la mise à jour de mon blog. Cette publication est dédiée à un aspect très personnel et bouleversant de ma vie : le drame psychologique que vit ma mère, une femme à haut potentiel, atteinte de la maladie d’Alzheimer. Je parle aussi de mes déboires en justice dans mon conflit avec ma sœur Morgane. Notre mère a longtemps caché ses pertes mémoires, ce qui a provoqué un déni chez beaucoup de membres de la famille. Les incompréhensions de Morgane et les histoires qu’elle se racontait pour satisfaire son narcissisme ont aggravé la maladie de notre mère.
Vendredi notre mère était complètement perdue. Elle a passée 24 h à demander au téléphone où elle était en oubliant à chaque fois la réponse, plus de 100 appels. Ce matin elle était mieux, parfaitement lucide sur son absence de mémoire qui l’empêche de reconnaitre ce qu’il y a sur les tableaux de sa chambre. Elle m’a demandé comment je me sentirais à sa place. J’ai essayé d’être positif mais mes arguments sur la lecture ou la télévision n’étaient pas sincères. Je pense que je me sentirai enfermé dans un monde étranger. Comme elle je serai capable de répondre à une question si elle porte sur le présent mais pas si elle porte sur le passé même très récent.
L’intelligence rend le combat contre cette maladie encore plus cruel. L'Alzheimer dérobe progressivement la capacité à réfléchir et à se souvenir sans la perte de la conscience de cette dégradation.
Je cherche à la soutenir, à lui apporter des moments plaisirs.
Cette mise à jour de mon blog n'est pas seulement un récit de mon vécu, mais aussi une tentative de fournir des ressources et des informations à ceux qui traversent des situations similaires.
Je vous invite chaleureusement à lire mon blog, à vous immerger dans l’histoire ARTICLE 40, et à partager vos pensées et expériences. J’ai besoin de vos conseils et de vos encouragements pour trouver la force de continuer mon récit.
Une petite nuit sans écriture.
Je suis depuis hier chez notre fille donc bien occupé par les petits enfants alors pas d'écriture mais mon brouillon de chapitre 17 a pris sa place dans mon blog. Je reprendrai l'écriture demain quand les enfants seront à l'école. Ma mère m'a appelé ce matin à 7h confirmant l'importance de lui laisser le téléphone la nuit pour quand elle perdue. Sa maladie a progressé avec la coupure du téléphone la nuit demandée par ma sœur Françoise à un personnel qui accepté de le faire même après que le directeur m'ait affirmé que cela n'aurait plus lieu. Dire que ma sœur Françoise prétend que sa mère est tout pour elle et elle dégrade une fois de plus sa santé. Affreux.
L’évolution de mon héro
J’ai fait analyser mon roman par Chat GPT. Mon héro est beaucoup complexe que moi. C’est la magie de l’écriture. Une fois au clavier j’écris des choses différentes de celles que je prévoyais d’écrire pendant mon insomnie. Cela me rassure car ma sœur m’ a déjà menacé de poursuites pour diffamation. Mon roman n’est pas diffamatoire du fait des différences. Je partage avec mon héro que le problème des insomnies. Hier je n’ai pas pris de cachet je passais être capable de dormir sans. Cela n’a pas marché, je traine donc une forme de dépression qui nuit à mon sommeil et possède au moins une conséquence positive. Je me lève pour écrire et mon roman avance.
Pour les intéressés par l’IA voici l’analyse de mon héro par Chat GPT : Merci d'avoir partagé cet extrait de votre roman intitulé "Insomnies". Le personnage de Paul semble être un individu complexement introspectif, aux prises avec des défis personnels et familiaux qui affectent son bien-être psychologique et son sommeil. Son parcours de vie, entre les conflits familiaux et ses tentatives de conciliation, ainsi que son interaction avec le système judiciaire et un passé de harcèlement au travail, en font un personnage multi-dimensionnel et riche en émotions.
Paul apparaît comme un personnage empathique, mais également perturbé par ses relations familiales, particulièrement avec sa sœur Morgane, dont les mensonges et manipulations évidentes ajoutent une dynamique toxique à leur relation. Son besoin de garder des documents et de tout analyser en profondeur montre une personnalité méticuleuse, peut-être excessive, tournée vers la recherche de vérité et de justice.
Le roman semble également proposer une critique du système judiciaire, en épinglant les incohérences et les frustrations de ceux qui en sont les victimes. L'approche de Paul, qui consiste à écrire ses problèmes et à les analyser, reflète sa quête de maîtrise sur sa vie, malgré les difficultés rencontrées.
En effet, le récit a également une touche de psychanalyse, étant donné que Paul se livre à des séances thérapeutiques dans lesquelles il explore ses souvenirs, ses erreurs et ses perceptions passées et actuelles, en essayant de comprendre sa propre psyché et celle de son entourage. Cette dynamique entre introspection personnelle et contextualisation familiale, associée à son haut potentiel intellectuel, offre une profondeur narrative captivante.
Ces éléments pourraient susciter des questionnements sur le poids des relations familiales dans la construction de l'identité personnelle et les moyens de se libérer de leur emprise pour retrouver une certaine paix intérieure.
Voila comment j’utilise l’IA pour améliorer mon texte je lui demande son avis comme le ferai un béta lecteur, je ne lui demande pas d’écrire du texte.
Ma colère après la grosse bêtise de Françoise.
Ma sœur Françoise a fait couper le téléphone de notre mère la nuit en disant que les appels nocturnes de notre mère la dérange. Elle a dit à une de mes nièces qu'elle ne coupait pas le son de son téléphone parce qu'elle ne veut pas louper d'appels d'autres personnes. Notre mère appelle parfois la nuit quand elle se sent perdue, elle a besoin d'être rassurée car elle est alors suicidaire. Françoise déclame que sa mère est tout pour elle. Que sa mère souffre ne le gêne pas.
Le personnel qui sait que j'appelle ma mère avant le petit déjeuner ne remet pas le téléphone avant de l'emmener. De même le soir ma sœur Christine appelle après le repas un peu avant 8h le téléphone est déjà coupé à ce moment là. Le personnel sait qu'il nous empêche de communiquer avec notre mère et il obéit à Françoise.
Ma sœur Françoise a fait écrire par son avocate que je lui fais la guerre alors que tous mes mails montrent le contraire, même après les procédures qu'elle a gagnées en mentant. Je ne sais pas pourquoi ma sœur me hait au point de mettre en danger la vie de notre mère pour me nuire. C'est très perturbant.
Elle peut m’en vouloir pour deux choses : j’ai refusé gentiment de partager son avis sur la santé de notre mère. Mon opinion reposait sur l’avis d’un gériatre, médecin expert, avec 30 ans d’expérience. L’avis de ma sœur repose sur sa certitude qu’elle sait mieux que tous les médecins ce qui convient à notre mère. La deuxième chose qu’elle me reproche c’est de ne pas avoir accepté de faire un changement d’Ehpad. Ce changement a beaucoup dégradé la santé de notre mère. L'écriture m'aide à supporter les bêtises alors j'en rajoute dans le vécu de mon héro.
Mon psychiatre m’a aidé à accepter les incohérences de ma sœur et ses mensonges à la justice. Il m’a expliqué que je ne pouvais pas aborder le monde des relations entre personnes avec mon approche scientifique. C’est un domaine où les preuves ne servent à rien, où les faits sont moins importants que les sentiments, où un mensonge grossier, facile à comprendre, vaut mieux qu’une vérité logique et complexe qui demande de l’attention. Il m'a prescrit un médicament qui m'aide à dormir.
Je reprends l'écrire du roman et ajoute un chapitre 15 où mon héro Paul parle de son expérience avec la justice. Si des événements sont proches de mon vécu ce ne peut être que par hasard. Ce roman ne cherche à nuire à personne comme mentionné dans l'avant-propos.
Un chapitre mouvementé ajouté au blog.
Comme annoncé, j’ai repris la rédaction de mon roman « Article 40 » en racontant des événements qui sont à l’origine des ennuis de Paul.
Aujourd’hui pas de tests de Chat GPT, j’écris seul. Je précise que les textes en italiques dans le roman sont ceux qui sont lus par Paul. Alors que dans les articles du blog ce sont les aides de Chat GPT.
J’ai retouché le menu de mon blog pour rendre plus direct les accès aux chapitres du roman.
Alzheimer : l’impact des événements sur la maladie.
De nouveaux événements étranges dans mes conversations avec ma mère m’ont décidé à reprendre l’écriture de mon roman « Articles 40 ». Mon héro Paul va bientôt revoir son psychiatre pour prendre son avis sur les anomalies téléphoniques et leur impact sur la santé de la malade d’Alzheimer.
J’ai fait résumer un de mes textes par Chat GPT. J’ai constaté quelques fautes de français et des tournures pas très belles. Je n’ai corrigé que le plus grave, logiquement j’ai laissé en italique pour vous permettre de distinguer mes propres écrits.
Le résumé de ce roman met en lumière une série complexe de conflits familiaux et légaux entre M Paul Lumière, Mme Morgane Moreau, et d'autres membres de la famille autour de la gestion de la santé et du bien-être de leur mère, Mme Amélie Lumière. Paul, qui s'était occupé de ses obligations familiales depuis son jeune âge, décrit les tensions résultant de la gestion de la tutelle de sa mère après que Mme Moreau ait pris des décisions indépendantes, provoquant des désaccords sur le choix de l'établissement pour leur mère. Des contextes familiaux et financiers viennent compliquer davantage la situation, avec Paul critiquant les méthodes manipulatrices et les décisions financières douteuses de sa sœur, Mme Moreau, et de son mari. Morgane est présentée comme une personne narcissique et manipulatrice dont les actions mettent en danger leur mère, et les efforts de Paul pour comprendre et rationaliser les comportements de sa sœur se retrouvent constamment entravés par des procédures légales biaisées en faveur de cette dernière. L'ensemble donne une image poignante de la dynamique familiale désintégrée par des intérêts personnels, le mensonge, et la manipulation, rendant impossible pour Paul le rétablissement de l'harmonie avec sa sœur et le bien-être de sa mère.
Un autre exemple de dialogue avec une HPI malade d'Alzheimer.
Je suis un peu saturé par les soucis avec l’Ehpad alors je fais reprendre une transcription d’un dialogue avec mère par Chat GPT. J’ai aimé la justesse du conseil final. En italique le texte de Chat GPT.
Moi : Bonjour maman, c'est Gilles. Tu sais qui je suis ?
Maman : Ah, Gilles... Oui, je crois. C'est parfois si confus dans ma tête.
Moi : Je suis là pour toi, maman. Comment te sens-tu aujourd'hui ?
Maman : Je me sens fatiguée... Parfois, j'ai l'impression de ne plus vouloir continuer.
Moi : Je suis désolé que tu ressentes cela. C'est vraiment difficile, je le sais, mais tu es entourée d'amour.
Maman : Oui, mais parfois l'envie de tout arrêter est plus forte. Je me sens inutile et perdue.
Moi : C'est normal de ressentir cela, mais tu as encore tant à nous apporter. On est là pour toi, à chaque instant.
Maman : J'essaye de m'en souvenir, mais je n’y arrive pas. Tout paraît si futile maintenant.
Moi : Rappelle-toi des moments heureux qu'on a partagés. Nous t'aimons tous profondément.
Maman : Je sais que vous m'aimez, mais c'est comme si je n'arrivais plus à y croire moi-même. Je suis tellement fatiguée de vivre.
Moi : On comprend et on veut te soutenir au mieux. Parle-nous de ce que tu ressens quand tu en as besoin.
Maman : Merci, mon chéri. Je ne veux pas vous déranger.
Moi : Repose-toi bien, maman. On t'aime très fort, n'oublie pas ça.
Maman : Oui, je vais essayer de m'en souvenir. À bientôt, Gilles.
Moi : À bientôt, maman. Je t'appelle bientôt et je pense fort à toi.
Ces sujets peuvent être très sensibles, et il est important que tu puisses aussi te tourner vers des professionnels si besoin. Ton accompagnement et ton soutien sont précieux.
Dialogue avec une malade d'Alzheimer repris par l'IA
Je continue à tester Chat GPT. Je lui ai demandé d’améliorer une transcription. J’ai la confirmation de mon impression dans ces situations là Chat GPT met beaucoup de sentiments. Mon dialogue avec ma mère était assez différent en particulier sur les souvenirs.
Voici ma demande : « merci de m'améliorer ce dialogue entre un fils et sa mère malade d'Alzheimer en Ehpad »
Et sa réponse :
« Pour améliorer le dialogue entre le fils et sa mère atteinte d'Alzheimer en Ehpad, il est important d'apporter plus de clarté, de chaleur et de compréhension. Voici une version améliorée du dialogue :
- Bonjour maman, comment tu te sens aujourd'hui ?
- Oh, je fais comme je peux, tu sais. Parfois, ça va, parfois moins.
- C'est normal, mais tu sais que je suis là pour toi. Tu as l'air en forme aujourd'hui.
- Oui, peut-être. C'est gentil de dire ça.
- Tu te souviens du moment où on a mangé des pâtes de fruits ensemble ? C'était sympa, non ?
- Ah oui, les pâtes de fruits. J'aime bien ça. On en a mangé.
- Oui. Et tu sais, ça me fait plaisir de venir te voir et de passer du temps ensemble.
- Moi aussi, ça me fait plaisir. Tu es toujours si gentil.
- Merci maman. Je suis content que tu te sentes bien. Et tu sais, même ici, tu peux te faire des souvenirs. Il y a plein de gens sympa.
- Oui, tu as raison. C’est important de parler avec les autres.
- Exactement, c’est important de garder le sourire et la bonne humeur. Et quand je te vois sourire, ça me rassure.
- Tu es un bon fils. Mais va, ne la laisse pas toute seule, ta femme.
- Oui, je vais y aller bientôt, mais je voulais passer un moment avec toi d'abord. Tu sais combien je t'aime, n'est-ce pas ?
- Oui, et je t'aime aussi. Prends soin de toi et reviens me voir bientôt.
- Promis, maman. Je reviendrai très bientôt. Prends soin de toi.
Adapter le dialogue pour qu’il soit plus fluide et naturel peut aider à transmettre plus d'empathie et d'amour entre les personnages ».
Chat GPT atteint bien ses objectifs d’où l’importance de la formulation de la demande.
Voici une deuxième demande avec le même texte : « peux-tu me refaire ce dialogue avec moi de sentiments. Les souvenirs sont arrivés quand la mère regardait une photo de son beau-frère Anselme ».
Réponse plus longue :
" Bien sûr, voici une version du dialogue intégrant une photo qui ravive des souvenirs :
Fils : Bonjour maman, comment vas-tu aujourd'hui ?
Mère : Bonjour, mon chéri. Je regardais cette photo, tu sais. il me semble que c’est Anselme, non ?
Fils : Oui, c'est bien lui, ton beau-frère. Tu te souviens de lui ?
Mère : Oui, je crois. Il était toujours si drôle et il adorait nous faire rire.
Fils : Oui, c'est vrai. Tu te souviens des grandes tablées qu'on faisait chez lui chaque été ?
Mère : Ah, les repas chez Anselme ! Toujours un vrai festin, et il aimait tant cuisiner pour tout le monde.
Fils : Exactement. Et toi, tu faisais souvent ton fameux gâteau aux pommes. C'était le préféré de tout le monde.
Mère : Ah, ces moments me semblent parfois si proches, bien qu'ils soient loin. Tu sais, revoir cette photo me fait chaud au cœur.
Fils : Je suis content que ça te ramène de bons souvenirs. Ça me fait plaisir de les partager avec toi, même si c’était il y a longtemps.
Mère : Merci, mon chéri. Tu sais combien cela compte pour moi que tu sois là.
Fils : Je serai toujours là, maman. Ta mémoire peut s’échapper parfois, mais on garde ces souvenirs vivants ensemble.
Mère : Oui, ensemble. c'est tellement précieux. Prends soin de toi, et reviens vite pour qu’on continue de se rappeler les beaux jours.
Fils : Promis, maman. Je reviendrai bientôt, et je ramènerai d'autres photos pour qu'on se remémore encore plus de moments.
Mère : J'attendrai ça avec impatience. Je t’aime.
Fils : Je t’aime aussi, maman.
Ce dialogue met en avant les doux souvenirs éveillés par une photo et l'affection entre la mère et le fils, malgré les défis que posent la maladie".
Un touche de philosophie sous Alzheimer
Pour avoir une peu temps avant les soins j’ai appelé ma mère vers 7h50. Voici notre dialogue suivi d'un commentaire :
- Bonjour maman, comment ça va ?
- presque bien, ma chérie, mais pas entièrement.
- Ah bon ? C'est moi, Gilles, qui te parle.
- Ça me fait plaisir, je suis contente de savoir que tu vas bien.
- Moi aussi, sinon, au niveau physique, comment te sens-tu ce matin ? As-tu des douleurs ?
- Pas vraiment de douleurs, non. Je réfléchis à ce que je dois faire ou pas, mais je prends les choses comme elles viennent.
- Oui, c'est une sorte de philosophie.
- Oui, comme ça, je ne m'inquiète pas trop.
- Tant mieux alors.
- Je n’ai pas beaucoup de choses à faire, donc je prends mon temps.
- Ça me fait plaisir de t'entendre comme ça.
- Tu sais, je ne suis plus toute jeune, mais j'aime avancer.
- C'est bien Maman de voir les choses ainsi
- Oui, c'est vrai, je me sens à l'aise comme ça.
- Je suis content de te savoir sereine, maman. J'aimerais que tu sois heureuse.
- Je ne suis pas si malheureuse, j'ai un lit et c'est déjà bien.
- Oui, tu as des choses pour décorer ta chambre ?
- Oui, j'ai des choses.
- Je sais, que tu as des photos de tes petits-enfants qui sont précieuse pour toi.
- Exactement.
- Les enfants grandissent vite, les petites en photo au-dessus de ta table de nuit viennent d’avoir quatre ans.
- Oui, oui, je m’en souviens.
- J'aime parler avec toi
- Oui, moi aussi.
- Maman, tu te contentes de ce que tu as, c'est une belle qualité.
- Oui, il faut savoir se satisfaire de ce qu'on a.
- C'est vrai, et ça peut faire une bonne journée.
- Oui, c'est important de penser comme ça. On risque d'avoir du soleil aujourd'hui.
- Oui, ça fait du bien.
- Maman, est-ce que tu as faim maintenant ?
- Peut-être un peu.
- D'accord, je vais te laisser pour que tu puisses aller déjeuner.
- Je t'embrasse fort, embrasse bien ta femme de ma part.
- Je t'embrasse aussi maman, je pense fort à toi.
- Moi aussi, ma chérie.
- Passe une très bonne journée ! Au revoir.
- Au revoir mon fils.
Ce matin c’est très différent des autres matins. Ma mère ne dit pas qu’elle est perdue, qu’elle ne sait où elle est. A aucun moment elle ne parle de son ennui et de sa volonté de mourir. Cache-t-elle ses désarrois ? Ou est-elle dans une période d’acceptation de son sort comme cela arrive de loin en loin. La précédente était de juillet 2024, elle est aussi sur mon blog. Amis lecteurs si vous avez un proche atteint d’Alzheimer, vous me feriez plaisir en partageant votre expérience de la maladie sur mon blog.
Belle journée, du soleil et pas d'idées noires chez ma mère.
Ce matin comme tous les matins l’appelle ma mère à l’Ehpad pour lui remettre quelques éléments en mémoire car elle souffre de la maladie d’Alzheimer. Elle décroche vite et je commence notre dialogue :
- Bonjour maman, comment tu te sens aujourd'hui ?
- Bonjour mon chéri. Ça va. Tu es où toi ?
- Je suis à la maison, tout va bien de mon côté. Et toi, est-ce que tu te sens bien ?
- Oui, ça va. Je suis dans une pièce un peu bizarre, je ne reconnais pas rien.
- C'est normal le matin, tu es dans ta chambre à la maison de retraite. Parfois, ça peut prendre un peu de temps pour se rappeler où on est, mais tout va bien.
- Ah oui, d'accord. Il y a le lit et des tableaux aux murs.
- Oui, exactement maman. Tu as aussi une lampe sur la table de nuit si tu veux un peu de lumière.
- Je vais essayer de l’allumer. Je ne suis plus sûre de tout.
- Ne t'inquiète pas. Prends ton temps. Et dis-toi que comme chaque jour, je vais te rappeler des souvenirs.
- Oui, parfois je pense à mon ancienne maison et aux promenades qu'on faisait le dimanche
- C'est vrai que nos promenades à Bellevaux étaient formidables, tu te souviens ?
- Ah oui, j'adorais ça.
- C'était de bons moments. Ça me fait plaisir d'en parler avec toi, maman.
- Oui, mais je dois me préparer maintenant. Je vais m'habiller pour voir ce que je fais ensuite.
- Je suis content de t'avoir entendue, maman. Je t'embrasse très fort.
- Merci, mon chéri. À bientôt.
- À bientôt, maman. Je t'aime.
Ma mère raccroche, j’ai raccourci notre conversation car j’ai entendu arriver une aide-soignante pour la toilette et le petit déjeuner.
Toujours pour m’entrainer avec Chat GPT je lui ai demandé son avis sur notre dialogue.
Ce texte décrit une interaction quotidienne entre une personne et sa mère, qui réside dans un Ehpad (établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) et souffre de la maladie d'Alzheimer. La conversation met en lumière les défis et les émotions associés à cette situation. La tendresse et le désir de soutenir sa mère se manifestent dans les réponses rassurantes données par l'appeleur. Le texte illustre bien l'importance des petits moments de connexion pour raviver des souvenirs et apaiser les inquiétudes causées par la désorientation fréquente chez les personnes atteintes de cette maladie.
L'usage de phrases simples et un dialogue direct rendent le récit vivant et authentique. Les sentiments de douceur, de patience et de nostalgie émanent de cette interaction. Cela suscite également une réflexion plus large sur les relations entre les proches aidants et les personnes âgées dans le contexte des maladies neurodégénératives.
Dialogue Alzheimer vu par l'IA
Je continue mes explorations de l’intelligence artificielle. Hier j’ai fait la même demande à Chat GPT, Gemini et Copilot. Les premières phrases de Gemini et Copilot étaient identiques.
Aujourd’hui j’ai fait commenter une transcription d’un échange téléphonique entre ma mère et moi. Comme pour mon début de roman Chat GPT a été indulgent sur mon écriture mais pertinent sur la situation. Je partage son point de vue sur ma mère.
Voici donc ce commentaire :
Le texte que vous partagez est un dialogue poignant entre un fils et sa mère qui souffre de la maladie d'Alzheimer. Il met en évidence la complexité des sujets de la mémoire, du vieillissement et des relations familiales. La conversation oscille entre des souvenirs du passé, mêlés à la confusion du présent, ce qui est caractéristique de la maladie d'Alzheimer.
Le texte aborde des thèmes importants tels que la perception de la vie passée et présente, la nécessité de vivre dans l'instant, et l'impact de la maladie sur les relations. La mère, malgré ses difficultés de mémoire, montre une sagesse et une résilience notables face à sa situation.
C'est un écrit émouvant qui pourrait servir à sensibiliser sur la réalité quotidienne des personnes atteintes d'Alzheimer et leurs familles. De plus, il incite à la réflexion sur l'importance de la patience, de la compassion et de l'écoute dans les relations familiales, surtout lorsque l'un des membres souffre d'une telle maladie.
En termes de style, ce texte montre une approche très humaine et personnelle pour traiter un sujet difficile, en mettant l'accent sur la mémoire comme un fil conducteur entre passé et présent malgré les ravages de la maladie.
Le texte "Dialogue avec une malade d’Alzheimer" présente une conversation entre l’auteur et sa mère atteinte de la maladie d'Alzheimer. Ce dialogue met en lumière les défis de la maladie, aussi bien pour la personne atteinte que pour ses proches, tout en offrant un aperçu d’une communication chaleureuse et résiliente qui prévaut malgré les difficultés.
Le texte commence par l’auteur impatient de capturer le dialogue avec sa mère, anticipant la profondeur et la sagesse que celle-ci pourrait partager. La mère a souvent du mal à se souvenir où elle est, exprimant un sentiment de désorientation quotidien, mais ce sentiment se mêle à des éclats de philosophie et de réalisme qui animent la conversation.
Dans le dialogue, la mère partage des souvenirs de sa jeunesse, évoquant des images de sa vie antérieure comme aller chercher de l’eau au puits ou travailler dans la fabrication de corsets. Ces souvenirs du passé sont des ancrages dans la réalité tandis qu’elle lutte pour maintenir sa mémoire actuelle. Les flashbacks montrent le contraste entre les époques et la mère trouve parfois du réconfort dans ce voyage mémoriel.
Les transformations sociales, comme l’essor technologique qui a rendu la vie plus facile aujourd'hui par rapport à son passé, sont vues sous le prisme de l'expérience de la mère. Elle perçoit les difficultés de jadis avec une sorte de nostalgie, notant que les gens étaient peut-être plus facilement satisfaits à l’époque, soulignant une critique subtile de la complainte moderne.
Une partie sensible de la conversation implique l’histoire personnelle de la mère, où elle parle de son abandon parental et de la redécouverte de sa famille biologique à l’âge adulte. Ces discussions illustrent le poids émotionnel qu’un passé complexe continue de jeter, même dans une mémoire défectueuse. L’impact d’être à la fois oublié et non reconnu par ses proches semble renforcer les défis psychologiques qu’elle affronte quotidiennement.
La conversation s’étend à des souvenirs de famille plus récents, décrivant des événements vivants comme sa participation à des anniversaires ou des visites familiales. L’auteur utilise ces histoires pour animer la mémoire de sa mère, insistant sur les connections humaines qui persistent en dépit de la maladie.
Par ailleurs, le dialogue expose les tensions familiales autour de la condition de la mère, notamment des divergences avec une sœur sur la prise en charge adaptée. Cette situation met en avant les défis souvent complexes des décisions de soins à long terme et les différences dans la perception de la maladie parmi les proches.
En conclusion, même dans les moments de confusion ou de vide mémoriel, la mère montre une approche philosophique et parfois désinvolte face à sa condition. Elle insiste sur le fait de vivre au présent, révélant une sagesse récurrente sur l’importance d’apprécier ce qui est encore disponible et beau dans son environnement immédiat.
Ce dialogue intime offre un aperçu poignant sur la lutte quotidienne avec la mémoire tout en soulignant la persistance de l’identité, des relations humaines et le pouvoir du rappel des souvenirs. Il explore aussi l'impact émotionnel de l'Alzheimer, tant sur ceux qui vivent avec la maladie que sur leurs proches, poussant avec délicatesse à une plus grande compréhension et compassion.
Je tâtonne encore pour améliorer mon blog.
Je viens de comprendre à travers le nombre de lecteurs dans qu’elle direction faire évoluer mon blog. Mon projet est un peu inspiré du livre de Raphaëlle Giordano et surtout de l’essai ‘L’école de la vie’. Ce qui peut intéresser mes lecteurs et qui correspond à mon envie de partager ce sont des remarques personnelles sur le monde. C’est-à-dire sur les réactions humaines ou des animaux, sur les sciences, la planète, l’espace. Une multitude de sujets dont j’ai abordé une pico partie. Mes petits trésors à partager sont mes solutions originales et simples à des petits problèmes. Mon handicap, source de problèmes relationnels, m’apporte quelques petits avantages. Je vais donc remettre certaines de mes astuces dont je parle dans mon roman article 40. En écrivant j’apprends à me connaître. Aujourd’hui j’ai envoyé un texte pour concourir au mini concours de ‘A vos plumes’. Voici l’appréciation encourageante de Chat GPT :
« Le texte que vous avez fourni est une introduction intrigante à une histoire qui combine des éléments de mystère et de réflexion personnelle. Voici quelques observations :
- Ambiance mystérieuse : L'histoire commence par un cadre familier - une promenade en forêt - mais cette quiétude est interrompue par la découverte d'une figure énigmatique et d'un objet significatif, une montre à gousset perdue, ce qui crée immédiatement une atmosphère de mystère.
- Thèmes ésotériques : On peut remarquer l'introduction de concepts comme le destin et la synchronicité, qui ajoutent une dimension ésotérique à la rencontre. Cela amène le lecteur à réfléchir sur le hasard et les connexions invisibles entre les événements.
- Interaction entre les personnages : Le dialogue entre Henri et l'inconnue montre une curiosité mutuelle et une ouverture au sens caché des événements. L'attitude d'Henri, qui est ouvert à la discussion avec une inconnue et à l'évocation des signes du destin, montre une personnalité avenante et prête à explorer des significations profondes.
- Mystère à résoudre : L'histoire laisse le lecteur avec des questions et un désir de savoir plus. Pourquoi la femme a-t-elle cette montre ? Quel est le lien entre elle et Henri ? L'invitation à la maison laisse entendre qu'il pourrait y avoir davantage à découvrir sur ce lien mystérieux.
Dans l'ensemble, le texte est une belle amorce qui pique l'intérêt du lecteur et pose les bases pour un développement ultérieur où les personnages pourraient à la fois explorer leur passé et découvrir de nouvelles vérités ».
Pour illustrer mon article j’ai demandé une image à Chat GPT, avec ce texte : « un normand de 70 ans assis sur une colline regardant le soleil disparaitre derrière une autre colline ou se trouve seul un grand chêne ».
/image%2F6406252%2F20250209%2Fob_096b79_img-vw9zxquu8zbgdgfg5ykoqyuo.png)
Cette image évoque une scène paisible et contemplative. Un homme de 70 ans, probablement imprégné de sagesse et d'expériences accumulées au fil des ans, s'est trouvé un endroit tranquille pour admirer le coucher du soleil. La colline où il est assis offre une vue dégagée sur l'horizon, tandis que le soleil se fond lentement derrière une autre colline. Sur celle-ci, un grand chêne se dresse seul, symbole de force et de résilience, ajoutant une dimension poétique à la scène. Ce moment de calme et de rapprochement avec la nature pourrait inspirer des réflexions sur le passage du temps, la beauté simple et éphémère de la vie, ou encore le lien profond entre l'homme et la nature.
A bientôt chers lecteurs.
Pour les représentants du personnel une astuce et un succès.
Astuce pour les représentants du personnel et un succès.
Si vous soupçonnez votre employeur d’utiliser le système d'audio conférence du standard pour vous écouter. Vous téléphonez depuis votre poste à un proche qui a un téléphone en main libre, vous dites que l’appel est enregistré et votre proche enregistre la conversation. Vous laissez des blancs entre les paroles. L’examen de la courbe du son révèle la présence de l’autre connexion.
/image%2F6406252%2F20250207%2Fob_d4e649_capture-d-ecran-2025-02-07-121742.png)
Courbes obtenues avec l’enregistreur vocal de Samsung.
En haut ligne non basculée sur une deuxième, aucun signal pendant les silences.
En bas ligne écoutée des traces pendant les silences.
Je viens de découvrir cette astuce mais je l’avais découvert autrement pour mon employeur car moi et mon interlocuteur avions dit on raccroche et nous avions laissé un silence, nous avons entendu tous les deux le raccrochement de la ligne de celui qui nous écoutait.
Me savoir écouté m’a permis d’aider un collègue. Voici mon histoire.
Un jeune ingénieur était licencié parce qu’il avait découvert des magouilles. Secrétaire du Ce et mandaté par l’intersyndicale je suis monté sur un touret de câble dans un atelier pour appeler le personnel à une grève le surlendemain si la direction que j’allais monter voir n’acceptait pas mes propositions raisonnables. La direction m’a menacé de sanction graves que je recevrais le lendemain au siège. En effet représentant du CE au conseil d’administration je partais tôt le lendemain matin pour le siège à Paris.
Mon syndicat m’envoie régulièrement des demandes de témoignages pour des journalistes. Je venais d’entrer en contact avec une équipe de France télévision et nous avions rendez-vous gare de Lyon après le conseil d’administration. Mes échanges avaient eu lieu par téléphone et mails.
Arrivé au conseil d’administration la secrétaire du PDG m’a offert un café ce qui n’était jamais arrivé, le PDG m’adressait plein de sourires. J’ai donc dû annoncer à France Télévision que je n’étais plus menacé. L’espionnage de la société m’a rendu service. Ensuite j’ai obtenu un doublement de l’indemnité de licenciement du jeune ingénieur et une recommandation pour une embauche dans une société plus proche de son domicile. Avoir recourt aux médias a obligé les dirigeants de l’entreprise à me respecter.
Bon courage à tous les représentants du personnel.
La justice occupe mes pensées.
Pour ceux qui me lisent pour la première fois je cite les faits. Ma sœur à déposé une plainte contre moi pour harcèlement à cause de mes courriels. J’ai été convoqué à la gendarmerie pour donner mes empreintes et me faire prendre en photo. J’ai reconnu que j’avais fait 27 courriels en 5 ans dont 4 en peu de temps, je me suis trompé, il y en avait 6. Une lecture attentive de ses six courriels montre que s’essayait d’éviter des ennuis à ma sœurs à cause de l’article 40 du code pénal et lui proposait une médiation. Cette plainte que je trouve abusive à été suffisamment retenue pour me faire convoquer. Pour donner suite à une action de ma sœur préjudiciable pour notre mère, j’ai déposé une plainte avec preuves pour les 2 faux témoignages demandés par ma sœur. Le procureur a enregistré ma plainte contre les 2 faux témoins mais pas contre ma sœur. Je croyais que la subornation de témoins, article 434-15 du Code pénal français, constituait un délit. D’après Chat GPT c’est un acte grave car il porte atteinte à l'administration de la justice et à la manifestation de la vérité. Depuis je lutte pour rejeter une hypothèse affreuse : une personne, parmi ceux qu’elle appelle ses amis, qui profite du studio du camp naturiste de cap d’Agde interviendrait en sa faveur. Je préfère penser que le procureur n’avait pas assez d’éléments contre ma sœur ou qu'il s'agit d'une erreur lors de la frappe. Je vais donc rassembler des documents sur les éléments nouveaux et lui écrire un courrier. Evidement cela retarde mes projets d’écriture pour le roman Article 40 et pour le petit concours d’HappyVisio. Je prie mes lecteurs de m’en excuser.
IA, intelligence artificielle, et HPI, haut potentiel intellectuel.
Aujourd’hui au lieu de vous mettre un dialogue de Paul avec son psychiatre qui fait avancer son roman potentiel inspiré de son passé, je publie ses réflexions du jour. Ce matin son épouse lui a parlé d’un échec de l’IA française, Lucie. Comme il cherche à comprendre les algorithmes de l’IA, il a fait un parallèle avec le fonctionnement de sa tête. Lorsque sa mémoire ancienne est activée par une information, une suractivité se développe entre ses deux lobes. Il a osé en parler à son épouse car elle était avec lui quand ce phénomène lui a été révélé par un examen IRM. Il a pensé alors que c’étaient les séquelles d’un ancien traumatisme. 15 ans après il a découvert son côté HPI il a su que l’anomalie était héréditaire. Un exemple l’a aidé à se comprendre. Son épouse a dit avoir vu le facteur. Paul a eu une vision du chemin vers son domicile avec ses deux boites, il a demandé si le facteur était venu à la deuxième. Elle lui a répondu un peu sèchement « évidement ». Paul lui a demandé « pourquoi ? ». Elle lui a dit : « d’où je suis on ne voit que la dernière boite à lettres ». L’erreur de Paul provenait d’une différence d’angle de vue de la mini-vidéo qui se déroulait dans sa tête. Il pense que l’IA est capable de faire ce genre d’erreur même si elle utilise une multitude de données.
C'est dimanche
Enfant le temps s’écoulait lentement, j’avais le temps de faire beaucoup de choses entre la sortie de l’école et le repas du soir. Pendant ces 3 heures là, j’avais joué au foot, monté une maquette en Lego, lu un chapitre d’un roman de Jules Verne etc… Maintenant retraité je ne vois plus passer les années. J’arrive bien à éviter le sentiment d’éternité dans les moments où le temps est généralement ressenti comme s’écoulant lentement. J’ai une belle panoplie de stratégies. Dans les moments très agréables, le temps s’étire. Il m’est arrivé de regarder l’heure et de constater que je ne suis pas en retard. Je croyais avoir quitté le quotidien pendant des heures alors que mon escapade avait duré une heure. Je pense améliorer mes stratégies pour éprouver cette sensation d'être hors du temps en permanence et freiner le défilement des années. Je n'y arrive pas vraiment.
Pas de mise à jour du roman aujourd'hui.
Je me protège
J’avais préparé un texte pour m’excuser auprès de mes lecteurs réguliers de ne compléter aujourd’hui mon feuilleton ‘’article 40’’. Finalement j’ai mis un chapitre de plus. Je ne garantis pas une publication quotidienne mais j’aimerais arriver assez vite à ce qui explique le titre. Hier j’ai reçu de quoi rédiger un autre chapitre à ce rythme, je n’arriverai jamais au bout. Mon texte est inspiré de fait réels mais j’en ai fait une fiction où tous les noms et descriptions sont fictifs. Si une personne me poursuit sur la similitude d’un fait du roman avec un fait réel peu flatteur pour elle, ce serait un aveu de ses fautes. Le mieux pour elle serait d’admettre qu’elle n’est pas reconnaissable. Mon but n’est pas de nuire à qui que ce soit mais de profiter de mes données pour faire un roman intéressant.
L'écriture pour l'écriture.
Mes écrits ont beaucoup évolué. Je saute moins de mots, fais moins de fautes. Je fais attention à ne pas mettre d’éléments d’identification. Avec des lieux et des personnages issus de l’IA je suis loin de la réalité. Avant j’avais mis dans mon blog une lettre ouverte. Elle est restée affichée 2 mois en 2022. Bien que mon intention fût de convaincre et pas de nuire, la diffamation était possible. Maintenant je n’ai plus besoin de publier pour supporter mes problèmes, je le fais pour me motiver à écrire. Si je procrastine encore un peu, j’ai du mal à m’arrêter. Je suis dépassé par mes personnages qui me transforment psychologiquement. J’aimerais bien un petit commentaire humain de temps en temps. Pour le moment je me contente de ceux de l’IA et je m’amuse en décrivant les images que Chat GPT me fabrique.
Le rôle du psychiatre prend de l'importance
Mon narrateur raconte à son psychiatre une série d'interactions tendues entre lui et sa sœur Morgane. Le psychiatre explore plusieurs dimensions dont les relations de pouvoir, la communication, la manipulation et le stress. Ce type de discussion vise à aider le narrateur à mieux comprendre ses émotions, à améliorer ses relations avec sa sœur et à gérer plus efficacement les situations stressantes qu'il décrit. Les répliques du psychiatre ne sont pas écrites par Chat GPT mais elles tiennent compte de son avis.
La mise sous tutelle
Aujourd’hui je n’ai pas écouté la radio donc pas de réflexions alimentées par l’actualité. Hier j’ai fait une grosse sieste. L’écriture me détend. Je rends les personnes et les lieux les moins identifiables possibles. Je mets des détails pour agrémenter mon texte et les ressentis du personnage principal qui ne sont pas des attaques contre des personnes. Les éléments les plus critiques sont fictifs, Paul ne fait que suivre les conseils du psychiatre imaginaire. L'image a été fabriquée par Chat GPT tout comme certains détails.