Ma colère après la grosse bêtise de Françoise.
Ma sœur Françoise a fait couper le téléphone de notre mère la nuit en disant que les appels nocturnes de notre mère la dérange. Elle a dit à une de mes nièces qu'elle ne coupait pas le son de son téléphone parce qu'elle ne veut pas louper d'appels d'autres personnes. Notre mère appelle parfois la nuit quand elle se sent perdue, elle a besoin d'être rassurée car elle est alors suicidaire. Françoise déclame que sa mère est tout pour elle. Que sa mère souffre ne le gêne pas.
Le personnel qui sait que j'appelle ma mère avant le petit déjeuner ne remet pas le téléphone avant de l'emmener. De même le soir ma sœur Christine appelle après le repas un peu avant 8h le téléphone est déjà coupé à ce moment là. Le personnel sait qu'il nous empêche de communiquer avec notre mère et il obéit à Françoise.
Ma sœur Françoise a fait écrire par son avocate que je lui fais la guerre alors que tous mes mails montrent le contraire, même après les procédures qu'elle a gagnées en mentant. Je ne sais pas pourquoi ma sœur me hait au point de mettre en danger la vie de notre mère pour me nuire. C'est très perturbant.
Elle peut m’en vouloir pour deux choses : j’ai refusé gentiment de partager son avis sur la santé de notre mère. Mon opinion reposait sur l’avis d’un gériatre, médecin expert, avec 30 ans d’expérience. L’avis de ma sœur repose sur sa certitude qu’elle sait mieux que tous les médecins ce qui convient à notre mère. La deuxième chose qu’elle me reproche c’est de ne pas avoir accepté de faire un changement d’Ehpad. Ce changement a beaucoup dégradé la santé de notre mère. L'écriture m'aide à supporter les bêtises alors j'en rajoute dans le vécu de mon héro.
Mon psychiatre m’a aidé à accepter les incohérences de ma sœur et ses mensonges à la justice. Il m’a expliqué que je ne pouvais pas aborder le monde des relations entre personnes avec mon approche scientifique. C’est un domaine où les preuves ne servent à rien, où les faits sont moins importants que les sentiments, où un mensonge grossier, facile à comprendre, vaut mieux qu’une vérité logique et complexe qui demande de l’attention. Il m'a prescrit un médicament qui m'aide à dormir.
Je reprends l'écrire du roman et ajoute un chapitre 15 où mon héro Paul parle de son expérience avec la justice. Si des événements sont proches de mon vécu ce ne peut être que par hasard. Ce roman ne cherche à nuire à personne comme mentionné dans l'avant-propos.